https://associationprise2.wordpress.com/
dimanche 25 septembre 2016
mercredi 17 août 2016
vendredi 12 août 2016
mercredi 3 août 2016
dimanche 31 juillet 2016
vendredi 29 juillet 2016
mercredi 27 juillet 2016
mercredi 20 juillet 2016
dimanche 17 juillet 2016
samedi 16 juillet 2016
Le récit de deux photographes
Antoine Chauvel
https://www.youtube.com/watch?v=aE1odRyVVm4
Valéry Hache
http://www.telerama.fr/medias/comment-valery-hache-photographe-a-nice-pour-l-afp-a-couvert-l-attentat,145271.php
https://www.youtube.com/watch?v=aE1odRyVVm4
Valéry Hache
http://www.telerama.fr/medias/comment-valery-hache-photographe-a-nice-pour-l-afp-a-couvert-l-attentat,145271.php
Cléserrures
14 juillet,
2016,
Hôtel Le Negresco,
Photo de nuit,
Plage,
Promenade des Anglais
lundi 11 juillet 2016
dimanche 10 juillet 2016
Nice...
"C'était le seul nom de ville en France que je pouvais prononcer, alors j'ai décidé d'aller là."
Jean Seberg, qui a passé un mois seule à Nice avant de gagner le Paris des "Cahiers".
Jean Seberg, qui a passé un mois seule à Nice avant de gagner le Paris des "Cahiers".
Cléserrures
06300,
1965,
Choc,
Cinéma,
Cours Saleya,
Honor Blackman,
Jean Seberg,
Marché,
Marché aux fleurs,
Mervyn LeRoy
samedi 9 juillet 2016
Mondo (1995)
Cléserrures
1995,
Cinéma,
Le Clézio,
Mondo,
Port,
Quai Rauba Capeu,
Tony Gatlif,
Vieille Ville
"De retour à Nice en 1949,
Le Clézio se sent étranger et mal à l’aise dans cette ville qui lui inspire des sentiments ambivalents, et ce d’autant plus que le retour du père en 1950 impose à la famille un mode de vie à la mauricienne ou à l’africaine. Il fait ses études au lycée Masséna, s’essaie à la bande dessinée (qu’il abandonne au profit de la « sympoésie»). Il lit avec passion : Kipling, Conrad, les récits des explorateurs – Charles de Foucauld, Camille Douls –, les poèmes de Rimbaud, puis les philosophes présocratiques… Il fréquente le ciné-club Jean Vigo où il découvre les films de Bergman, Antonioni, Orson Welles, Eisenstein, Mizogushi, les néoréalistes italiens et « les peplums majeurs ». Il participe également au « Club des Jeunes », où il rencontre certains artistes de l’École de Nice et Ben, dans le « magasin » duquel il signe son Procès-verbal. Mais le contexte de la Guerre d’Algérie assombrit considérablement ces années d’adolescence." (associationleclezio.com)
vendredi 8 juillet 2016
vendredi 22 avril 2016
Prince (1958-2016)
"Rumour in Nice-Matin
suggested Prince had wanted to be part of the Jazz at Juan Festival
which was celebrating its 50th Year Anniversary since its beginning in Antibes
in 1960, and this was the closest he could get.
Starting with Sidney Bechet and followed by Louis Armstrong,
Dizzy Gillespie and many others this has been one of the greatest jazz events
in history and its no surprise that someone as intimately connected to the
traditions of his music as Prince should want to pay tribute by participating.
He managed on the night to do a good deal more than that, opening with Purple Rain he stormed
through Let’s Go Crazy! Part 1 into Delirious then Let’s Go Crazy! Part 2 and followed that with 1999. I danced for
two hours.
I’d been listening to Sam Cooke live at the Harlem Square Club in Miami in 1963. He had the gospel feel and fervour that he had when he was in the Soul Stirrers, but of course by 1963 he was also a musician of the flesh. "Don’t fight it… feel it. Don’t fight it… feel it!" he called to the crowd, and to himself. The contradiction between doing God’s work and the Devil’s work runs right through the music coming directly from the blues and gospel dichotomy. It runs through Prince’s music to, and the atmosphere at the gig was as close to the Harlem Sq Club as a stadium show could be. "Dearly beloved we are gathered"… I had seen Prince play a club date in Camden Town in the ’80’s, an aftershow party following a Wembley Arena concert at which he went on at 1.30 and by 4.30 was into an extended version of The Temptation’s Just My Imagination. Prince’s knowledge, respect and command of his music tradition showed in Nice.
Just as Bob Dylan’s "Theme Time Radio show" demonstrated the enormous depth of knowledge and the inspiration he can draw from, so Prince’s love of jazz, gospel, funk, r&b, rock and soul shines through his music, as his encores after Little Red Corvette and Kiss showed, including songs from the Jackson 5, Everday People and I Wanna Take You Higherfrom Sly & The Family Stone and finally Dance (Disco Heat) by Sylvester. Actually Bob Dylan who is reportedly unhappy with video screens could take a tip from Prince’s brilliant use of video technology. He had screen behind the stage so we watched the close-up through the live band and stage lighting which meant it was able to intensify the visuals rather than distract.
We read a lot about the "strangeness" of Prince’s life. Just recently he has been criticised for "giving his new album away" and casting doubts on the internet. It’s always interesting with him, remember the Prince merchandising shop in Camden market? In Nice he checked out of his hotel because the decor offended him, probably correctly. Does any of this obscure his place amongst the greats of music? No. He has listened carefully and has with courage and dedication forged a unique contribution to music, and earned his place, not just amongst the stars, but amongst the legends. Salut!" www.dougdarcy.com
lundi 11 avril 2016
Nouvelle Brice
Tournage de Brice de Nice 3
Out https://www.youtube.com/watch?v=IJBB5hfbWDs
In https://www.youtube.com/watch?v=lijJtklQWRI
Out https://www.youtube.com/watch?v=IJBB5hfbWDs
In https://www.youtube.com/watch?v=lijJtklQWRI
Un sac de billes (1)
À Nice, une bannière nazie pour le tournage du film Un sac de billes,
Publié le 2 octobre 2015 par toutlecine.challenges.fr (avec AFP).
Cette semaine, une bannière nazie a été déployée pendant dix minutes pour le tournage de l'adaptation du best-seller Un sac de billes par le réalisateur québécois Christian Duguay.
Photo : lepoint.fr
Publié le 2 octobre 2015 par toutlecine.challenges.fr (avec AFP).
Cette semaine, une bannière nazie a été déployée pendant dix minutes pour le tournage de l'adaptation du best-seller Un sac de billes par le réalisateur québécois Christian Duguay.
Tantôt surpris et silencieux, tantôt amusés, les badauds ont mitraillé de photos mardi 30 septembre à Nice une bannière nazie d'une dizaine de mètres, déroulée sur la façade du palais préfectoral le temps du tournage d'un film sur l'occupation allemande. "Ça impressionne, ça fait froid dans le dos", glisse Daniel, un touriste d'Orléans, né trois ans après la Seconde guerre mondiale. Il précise qu'il va "garder les photos" dans son ordinateur sans les envoyer à ses amis. "C'est un clin d'oeil humoristique", explique Laurent, 54 ans, venu faire des clichés pour son compagnon allemand cuisinier qui n'a pas le temps de quitter ses fourneaux. Son ami de 42 ans vit l'histoire allemande avec "une immense culpabilité", confie-t-il plus sérieusement. "Il est très touché par cette époque quand nous voyageons sur le sol d'Israël. On n'échappe pas à cette période". En arrivant de la plage, Mathias et son fils Tobias, touristes allemands de Hambourg, ont vu de loin l'immense bannière rouge et sont restés interloqués. "C'était incroyable!" La surprise passée, ils jaugent la scène insolite avec un brin d'humour. "J'ai envoyé les photos à mes amis en Allemagne, ils ont répondu nous sommes de retour!".
Reconstitution historique
Un panneau jaune annonçait ce mardi en grosses lettres "tournage de film", "reconstitution historique". Sur la place du palais préfectoral qui jouxte le marché très touristique du Cour Saleya, le réalisateur québécois Christian Duguay a tourné toute la journée en appelant seulement les spectateurs à ne pas utiliser leurs flashs. Militaires allemands roulant en véhicules des années 40, passantes françaises aux tenues rétros tirant leur bicyclettes: le tournage mardi d'une adaptation du bestseller français Un sac de billes ne laissait planer aucune ambiguïté. Lundi, le déploiement expérimental pendant dix minutes de la bannière nazie avait été immortalisée sur un cliché par un touriste, qui racontait toutefois que la foule surprise s'était "mise à crier" dans le doute... Dans le film, le palais préfectoral représente "l'Hôtel Excelsior" réquisitionné en septembre 1943 par Aloïs Brünner, chef du commando SS à Nice, pour en faire le quartier général de la section anti-juive. La préfecture a souligné lundi que le tournage "participe au devoir de mémoire".
Joseph Joffo, 84 ans, auteur du livre autobiographique Un sac de billes (1973), y raconte son histoire d'enfant juif errant, sa fuite avec son frère en zone libre jusqu'à Nice. Ses parents sont incarnés dans le film par les acteurs Patrick Bruel et Elsa Zylberstein. Joseph Joffo, qui a assisté mardi au tournage du long-métrage, fait également l'objet d'un film documentaire très personnel qui le suit à travers la France sur tous les lieux de son exode.
Photo : lepoint.fr
vendredi 11 mars 2016
vendredi 22 janvier 2016
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