Le Clézio se sent étranger et mal à l’aise dans cette ville qui lui inspire des sentiments ambivalents, et ce d’autant plus que le retour du père en 1950 impose à la famille un mode de vie à la mauricienne ou à l’africaine. Il fait ses études au lycée Masséna, s’essaie à la bande dessinée (qu’il abandonne au profit de la « sympoésie»). Il lit avec passion : Kipling, Conrad, les récits des explorateurs – Charles de Foucauld, Camille Douls –, les poèmes de Rimbaud, puis les philosophes présocratiques… Il fréquente le ciné-club Jean Vigo où il découvre les films de Bergman, Antonioni, Orson Welles, Eisenstein, Mizogushi, les néoréalistes italiens et « les peplums majeurs ». Il participe également au « Club des Jeunes », où il rencontre certains artistes de l’École de Nice et Ben, dans le « magasin » duquel il signe son Procès-verbal. Mais le contexte de la Guerre d’Algérie assombrit considérablement ces années d’adolescence." (associationleclezio.com)
samedi 9 juillet 2016
"De retour à Nice en 1949,
Cléserrures
Ben,
Ciné-club Jean Vigo,
Cinéma,
Jean Vigo,
Le Clézio,
Lycée Masséna,
Rue Tondutti de l'Escarène
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire